Nous vous proposons plusieurs manières de participer au centenaire par la prière :
À Fatima, le 13 juillet 1917, la Vierge Marie s’adressait ainsi aux petits pastoureaux : « Récitez le chapelet tous les jours en l’honneur de Notre-Dame du Rosaire (…) pour obtenir la paix dans le monde et la fin de la guerre, parce qu’elle seule peut les obtenir. »
Dans bon nombre de ses apparitions, la Vierge Marie ne cesse de nous appeler à utiliser d’abord ses armes à elle : la prière et le jeune qui peuvent arrêter les guerres et suspendre le cours des lois naturelles.
Nous vous proposons cette année de prendre un engagement spécial de pénitence pour répondre aux appels de la Vierge et participer ensemble à la conversion des pécheurs ; par exemple en jeûnant, en particulier les mercredis et les vendredis, en vous confessant chaque mois, ou par tout autre démarche à votre portée.
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! Priez Dieu pour la conversion des pécheurs », nous demandait Notre Dame à Lourdes, le 24 février 1858.
Pour rejoindre Marie qui nous conduit au Christ, nous vous proposons quelques actions spéciales pendant cette année très spéciale qui appelle un renouvellement de la consécration de notre pays à Jésus et à Marie.
Nous avons pour cela mis en place, avec de nombreuses associations et avec le soutien de nos évêques, de nombreuses actions qui seront proposées tout au long de l’année (pèlerinages, célébrations, intronisations, spectacles, etc.) et notamment les 15 août, 22 août, et 8 décembre.
Saint Bernard de Clairvaux disait ainsi : « Regarde l’Étoile, crie vers Marie ! (…) Si tu la suis, point ne t’égares ; si tu la pries, point ne désespères ; si tu la gardes en ta pensée, point de faux pas. »
Avec Saint-Jean Eudes, nous vous proposons en cette année très spéciale de vous préparer à une consécration aux Cœurs unis de Jésus et de Marie.
Une neuvaine vous est proposée pour méditer avec ce grand apôtre des Cœurs unis pour vous y consacrer solennellement.
Ces consécrations individuelles sont comme le préambule d’une future consécration nationale de la France aux Cœurs unis de Jésus et de Marie.
Saint-Jean Eudes disait : « Dieu a uni si étroitement ces deux Cœurs qu’on peut dire avec vérité qu’ils ne sont qu’un Cœur. »
